ILLUSIONS d’Ivan Viripaev / Olivier Maurin – Tour 2018

illusions
 
 

les 18 et 19 mai 2018 au Théâtre du Parc – Andrézieu Bouthéon
du 06 au 27 juillet 2018 au 11 (Gilgamesh) – Avignon
 
 

ILLUSIONS d’Ivan Viripaev
Traduction Tania Moguilevskaia et Gilles Morel
Mise en scène Olivier Maurin
Avec : Clémentine Allain, Fanny Chiressi, Arthur Fourcade, Mickael Pinelli
Lumières : Nolwenn Delcamp-Risse
Production COMPAGNIE OSTINATO – juin 2016

Revue de presse

« C’est le miracle du metteur en scène, Olivier Maurin : parvenir à une direction d’acteurs d’une délicatesse à travers laquelle le travail n’apparaît jamais. Comme s’il nous donnait l’illusion de jouer à la place des acteurs. Avec ce talent particulier d’effacer les contingences du théâtre pour laisser traverser un texte dans toute la plénitude de ses émotions. La puissance des sentiments est telle que le spectacle évite en permanence l’écueil de l’exercice de style. On sourit, cueilli par l’humour planqué au coin d’une phrase par Viripaev, comme on vibre à ce château de cartes des illusions qui tombent une à une jusqu’à ce que mise à nu s’ensuive. C’est tout Olivier Maurin : faire du théâtre à sa façon, inédit, vivant, habité, le plus simplement du monde mais avec un talent et et une foi qui ne doivent rien à personne. »
Luc Hernandez, Exit.

« Olivier Maurin a le goût des pièces délicates et redoutables à mettre en scène. Après le superbe En courant, dormez, voici Illusions, récit vertigineux sur l’amour et ce qu’il en reste. […] Clémentine Allain, en charge durant la première demi-heure du monologue d’ouverture, est bouleversante, faisant ressurgir une réminiscence du couple Trintigant / Rivat dans Amour de Haneke. »
Nadia Pobel, Le Petit Bulletin.

« Ivan Viripaev évite le mélodrame en donnant à la jeunesse des protagonistes le rôle de porte-voix des confessions des amants crépusculaires. Cette distance permet d’échapper à la simple chronique d’histoires particulières et développe une réflexion universelle sur la passion. Viripaev élève même sa pensée au niveau d’une métaphysique de l’amour. Tout cela dans une langue étincelante, magnifiquement traduite par Tania Moguilevskaia et Gilles Morel, et sans jamais perdre le sens de l’humour. Respectueux du texte, Olivier Maurin invente une dramaturgie de la sobriété superbement efficace. Dispositif signifiant et épuré, proximité du public le faisant complice intime des personnages, vocalisations essentiellement sur le ton de la confidence, gestuelle aux accents rarement excessifs. Maurin aime la modernité d’un théâtre qui explore les mystères de l’existence et s’incarne sous la forme d’un jeu de stratégie. Son spectacle en est l’intelligente manifestation en faisant partager à ses spectateurs le plaisir d’être passionnés par le propos et l’excitation de démasquer toutes les illusions, y compris celles de la représentation. »
Michel Dieuaide, Les Trois Coups.
 


Directeur artistique délégué au projet pour le TNP Villeurbanne auprès de Christian Schiaretti.
 

 

 

henschel

 

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